lundi 31 décembre 2018

Dernières bêtises...

De l'année 2018 !


Pas que  je vais forcément poster un truc bête d'ici demain (la choucroute passe avant) !

Anselme a eu envie d'échanger sa crinière avec Méga-Pharamp, comme il l'avait déjà fait avec Keldeo et Galopa (ça remonte!)
Alors du coup, j'ai piqué deux-trois trucs à Chevroum.
Et Zabivaka a fait un deal avec Lougaroc Diurne!

C'est bièsse, mais j'aime bien.






Voilà voilà, à l'année prochaine !

dimanche 30 décembre 2018

Des tchinisses encore...

Toutes fraîches!

Ou presque.

Ici l'encrage du "Chat d'Alola" et quelques recherches sur le personnage de Silver des jeux pokémon Or/Argent dont je prévoyais de faire une version plus adulte pour le "CDC!"

Encore un "Old Silver" et son compagnon Dimoret avec les couleurs d'O/A.
Et puis je me suis amusé.
Quand j'ai découvert les Otamatone (merveilleux instruments), j'ai tout de suite fait le rapprochement avec le pokémon Pijako.
Oh et une petite ré-imagination de la méga-évolution de Pharamp.




Voilà voilà, à bientôt!



vendredi 28 décembre 2018

CDC!

Character Design Challenge !

Ma participation au challenge de ce mois de décembre 2018

Et c'est sur le thème POKÉMON !!

Ah j'ai eu dur de choisir !

J'ai finalement opté pour Miaouss.
Un peu conventionnel, mais toujours sympa à dessiner.







Voilà voilà, à bientôt!




vendredi 21 décembre 2018

Tchinisses, Pokémons et...

Un Muscadet!


Attendez, vous allez voir.

Alors, c'est une espèce de... heu... Chien-Dragon(?) et sa... dresseuse, partenaire, propriétaire?
BREF
Et après je me suis amusé à faire un Farfuret avec ses couleurs des jeu Or&Argent originaux, et tant qu'à faire un Dimoret aussi.
Tout ça à l'aquarelle, histoire d'en faire un peu de temps en temps.


Et... le voilà! Le Chat d'Alola !
En fait c'est dû à une petite blague sur le groupe FB "Les Mondes de Silvallié"
C'est tout frais du jour!
De la fin d'après-midi même, c'est dire!




Voilà voilà, à bientôt!


jeudi 20 décembre 2018

Meilleurs vœux

Pour ce Noël et l'An 2019


La petite carte que j'ai dessiné et colorisé:






Voilà voilà, passez de bonnes fêtes de fin d'année !


jeudi 13 décembre 2018

C'est du sérieux.

Pour une fois.


D'habitude je veux rester plutôt léger sur ce blog, mais je vais faire une exception.

Au vu du contexte actuel et influencé par le thème du mois du Character Design Challenge! j'ai fait ça: 
C'est ma manière de manifester mon soutien au mouvement citoyen.

J'espère que ça aboutira à quelque-chose de bon pour les gens.

Et quand je dis "les gens" je veux parler des "petites gens", bien que ce terme sonne condescendant.
"Petites gens" dont je fais partie.
Je n'ai pas de revenus, pas encore d'emploi, pas d'allocations (il faut avoir eu un emploi pour en bénéficier), vivant au crochet de ma famille... c'est... compliqué à avouer car ça n'est pas du tout valorisant.
Je paie mes quelques déplacements sur mes économies.
Ça doit faire six mois depuis la dernière fois où je me suis payé un livre.
...
Bon, ce serait plutôt mal placé de parler revendications sociales , quand on se sens comme un gros branleur pas foutus de trouver un job et qui se cherches des excuses... mais... 

C'est un tout je pense.
Le climat socio-politico-économique, les exigences sociétales qui met l'opprobre sur les "inactifs", ceux qui n'ont pas d'emploi, déjà que l'on n'est pas considéré comme "adulte" avant d'avoir trouvé son premier job même alors qu'on aie 28 ans...

Cette... pensée, cette idéologie que j'ai envie d’appeler "capitaliste" qui prône la rentabilité, pratiquement à n'importe quel prix.
Si on est pas rentable, si on ne rapporte rien à l'État, puisque l'éducation est un investissement sur des valeurs future, mais que cet investissement n'est pas "répercuté"... alors on de vaut rien... pire: on coûte!

Comment faire confiance à des politiques, des dirigeants, non pas d'un pays, mais de ce qui semble être une entreprise où résident des gens employés d'offices ?
A-t-on vraiment envie de se lancer dans une société où l'on serait considérer ainsi?  

Et là je ne parles que de moi, en gros égoïste.

Mais globalement, beaucoup ont bien plus difficile.

Car la vie est chère (bien plus en Belgique qu'en France d'ailleurs), et n'a fait qu'augmenter depuis vingt ans.

Pourquoi vingt ans? 
À cause de la Galette des Rois.

Je m'explique: 
Quand j'était petit, comme le moment de la galette était sujet, avec ma soeur, à disputes cri et larmes, mes parents (tous deux ouvriers), achetaient deux galettes.
Deux BELLES galettes, des grandes, des bonnes de chez le boulanger-pâtissier.
Et c'était le même cirque chez nos grands-parents.

En moyenne sur la semaine de l'Épiphanie nous nous enfilions en moyenne 3-4 Galettes des Rois.

Vingt ans plus tard, ma famille pourtant pas moins pauvre qu'à l'époque, pour l'Épiphanie dernière, nous nous somment partagés avec ma grand-mère une minable et mini galette moche, plate et dégueulasse de la grande distribution.

La faute au coût exorbitant des vraies bonnes galettes de boulangeries.
(Devant lesquelles j'avoue saliver misérablement).

Comment le coût des matières premières a-t-il pu flamber autant?  

Et ça n'est qu'un exemple parmi tant d'autres comme les places de cinéma.

Les petites gens n'ont plus de sous pour vivre.
Ils travaillent mais c'est assez pour juste survivre.
La faute aux logements: trop chers.

La faute aux abonnements de téléphone: trop chers.
Alors les téléphones, bien-sûr on pourrait se passer de smartphone.
Sauf que tout tends, tous "services" poussent à passer aux applications, par QRCodes.
Quand on nous demande de tout faire soi-même par l'Internet.
Et qu'une lettre envoyée est sur-facturée, le haut-débit, les datas, la 4G... ce ne sont plus du luxe mais de la nécessité.

Les transports: trop chers.
On nous dit de prendre les transports en communs.
Encore faut-il être bien desservit.
Et pour avoir un boulot, il faut avoir le permis.

On nous met sur la tête toutes les responsabilités de la planète.
L'écologie.
L'économie.
Le climat.
On a notre part, c'est vrai.
Mais beaucoup de décisions importantes nous échappent.
Que valent les petites initiatives si elles ne sont pas soutenues? 
Qui laisse les grosses entreprises mettre notre écosystème en péril? 
Comment agir quand c'est la politique d'autres pays, d'autres continents alors que même ici on ne nous entends pas? 

Comment faire quand nos politiques ne nous entendent pas? 
Qu'ils bafouent les lois.
Qu'il réforment les métiers à tout va.
Pour plus de rentabilité ils transforment, déforment les emplois.  

Ma mère, qui est Aide-familiale, son métier c'est l'aide à domicile des familles en difficultés, des personnes âgées vivant chez elles et ayant parfois de gros problèmes de santé ou sont très diminués par l'âge, par la maladie d’Alzheimer.

Son travail c'est lever les personnes, les laver, les habiller, les emmener à selle, leur préparer leurs repas, les accompagner aux courses, faire un brin de ménage, de toilette, de lessive, jardiner avec eux, parler avec eux, leur tenir compagnie, les mettre au lit même.

Sur plus de trente (30!) ans de carrière elle a vu son métier changer.
Mais pas en mieux.
Petit à petit elle a vu s'étioler la liste des services qu'elle avait le droit de rendre à ses bénéficiaires.
À raison d'être catégorisés comme "Acte Médical" elle n'a, par exemple, plus le droit de couper les ongles d'une personne âgée.
Et une autre toute récente: il lui sera désormais interdit de relever les barreaux d'un lit médicalisé, genre lit d'hôpital, lorsqu'elle mettra ces personnes âgées au lit.
Car ce sera considéré comme un acte de rétention médical.

Ça veut dire que ma mère devrait mettre la personne dans son lit sans mettre les sécurités et partir en les laissant ainsi, puisqu'elle n'en aurait plus le droit, au risque que ces personnes tombent de leur lit!

Un lit d'hôpital c'est déjà haut et une personne âgée c'est fragile.
En cas de chute, au mieux c'est une vilaine contusion.
Mais ça peut vite être une fracture... ou pire!

Du coup, il faudrait une infirmière au moment de la mise au lit exclusivement pour relever les sécurités d'un lit.

Et tout ça sans parler de restructuration et de mesures (anti)sociales qui me dépassent. 


Je ne suis pas assez intelligent pour savoir par quel bout prendre tout ça pour commencer, qu'est-ce qui peut être mis concrètement en place et comment.

Il est clair que les gens n'en peuvent plus.
Il est clair que les gens ne veulent pas une dringuelle, une avance sur leur argent de poche comme ça a été proposé aux français.
Il est clair que les gens ne veulent pas que une petite baisse du prix de l'essence.

Les gens veulent du changement.
Les gens veulent des réformes par et pour les gens.


D'ailleurs, ce vendredi 14/12/2018, une grève générale est prévue en Belgique, une action légale organisée par les syndicats.
Pour dire non à la pauvreté, à la casse sociale par le gouvernement, etc.

Je me demande si les syndicats et Gilets Jaunes vont se rejoindre à un moment.
Parce-qu'au final, la lutte est commune sur le fond de faire cesser les violences symboliques des dirigeants politiques contre les gens, les petites gens du peuple.

Tiens, ça me fait penser que je suis tombé sur cette vidéo très intéressante:

  "La violence des riches"
De Monique et Michel Pinçon-Charlot
(Bon, c'est une interview d'une chaîne YouTube de la FGTB, un syndicat Belge, mais ça n'en reste pas moins intéressant comme propos).


... Je me demande si Frank Lepage est Gilet Jaune.



Enfin... voilà voilà !

Félicitation si vous êtes arrivés à la fin de ce pavé (sans rapport à mai 68).

À bientôt avec d'autres dessins probablement beaucoup plus légers.

mercredi 5 décembre 2018

Sur le Krampus...

Universitaire !


Hahaha ha... hum.

Aujourd'hui cinq décembre, c'est le jour de Krampus.
Bon, c'est pas vraiment une tradition de Belgique, et comme Halloween il a gagné une certaine popularité mondiale en passant par les USA...

Alors on va suivre la tendance, y'a pas d'raison!






Non mais c'est vrai quoi à la fin !





Voilà voilà, à bientôt!

lundi 3 décembre 2018

Rétro-note

C'était en juillet...


Un peu après la demi-mois et son tumulte: 




Et voilà comment on se retrouve chassé de son salon.
...
Et qu'on se retrouves avec un Zabivaka-réfugié politique sur les bras.









Voilà voilà, à bientôt !